Démarche Artistique

Le monde moderne qui nous entoure est-il d’une perpétuelle dualité ?
Dans son travail de mélange et de superposition, d’animalité et d’humanité, de références culturelles et artistiques, Nicolas PEYRON aborde ce vaste questionnement.
Sa peinture esthétique, réaliste, chargée de symbolisme, nous interpelle avec humour sur cette confrontation.
Pour exemple, il utilise dans plusieurs de ses œuvres le Zèbre. Cet être de dualité illustre l’axe de son travail par son symbolisme et ses contrastes tel le Ying et le Yang. On y retrouve la passivité et l’agressivité, le clair et l’obscur, le bien et le mal...
L’ajout d’éléments contrastés, comme les couleurs chaudes et froides, l’indignation et la résignation, le rêve et le cauchemar, souligne le message de réflexion.
Messager plastique de notre époque, par le prolongement de ses pinceaux, ne montre t-il pas la complexité du monde dans les différents défis qui se présentent ainsi que les pulsions contradictoires qui habitent chaque être humain ?

Bio

Nicolas PEYRON est surtout connu pour ses peintures acryliques sur toile qui mettent en scène des animaux dans des contextes ironiques.

Son atelier à La Baule, proche de l’océan, nourrit son processus de création et son équilibre dans la méditation.

Formé aux techniques de l’animation puis de la maquette, il choisit de s’exprimer sur un support lisse (châssis en lin enduit ou bois) pour mettre en œuvre les volumes de sa peinture réaliste et soignée.

Il puise ses inspirations dans la culture
populaire, l’histoire de l’art, et l’actualité.

Son travail illustre sa vision dualiste du monde qui l’entoure et qu’il aime détourner. Il nous propose d’en souligner les contrastes par l’humour, et de s’affranchir de l’auto-conditionnement par le dépassement de nos limites de réflexion.

Histoire d’Artiste

Las, je m’inscris pour faire une formation de trompe-l’œil de fresque. Cette initiative est libératrice. Pendant huit mois, je peins, apprends de nouvelles techniques. Je renais .

C’est à la fin de cette formation que le déclic de devenir artiste apparaît .

Une amie me montre une page de magazine de décoration, avec un vieux casier de vestiaire industriel.

Elle me demande si je suis capable de lui faire en trompe-l’œil contre rémunération.

Je relève le défi sur un format de 1 m par 1 m .

Le plaisir fait germer l’idée de proposer des toiles en galerie.

Je viens de trouver ma voie chaque Cliquez ici pour accéder à l’histoire complète…